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Alors que des rafales de 50 km/h frappent l’île d’Olé­ron, le 20 novembre dernier, le skip­per d’un voilier chute à la mer. Les trois autres passa­gers, peu expé­ri­men­tés, sont désem­pa­rés. Heureu­se­ment, un Sauve­teur en Mer est parvenu à monter à bord pour prendre la barre.

Fin janvier, l’île de la Réunion a été touchée par la tempête Candice et des vents de plus de 100 km/h. Un voilier a été piégé au large de Sainte-Marie dans des creux de plus de six mètres. Les Sauve­teurs en Mer sont inter­ve­nus deux jours d’af­filé pour venir en aide à son équi­page.  

Dans la nuit, alors que la tramon­tane souffle en tempête, les secours luttent pour sauver une vedette alle­mande et ses trois passa­gers, à 24 milles nautiques au large des côtes de la Médi­ter­ra­née. Le Lion a voulu mordre, mais n’aura fait aucune victime. De justesse.

Les naufrages de grande enver­gure sont heureu­se­ment rares, mais souvent drama­tiques. Au fil du temps, certains événe­ments tragiques ont marqué l’opi­nion publique et ont aussi permis de faire évoluer la régle­men­ta­tion. Retour sur quelques drames histo­riques.

Victime d’une entrée d’eau incon­trô­lable, un voilier s’échoue sur des roches. La mobi­li­sa­tion par le CROSS Corsen d’un héli­co­ptère, ainsi que de la vedette et du semi-rigide de la station SNSM locale a permis d’évi­ter le drame.

Inter­ven­tion en pleine nuit pour les sauve­teurs de la station de Berck-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais. Après qu’une embar­ca­tion de migrants a coulé, les naufra­gés se sont réfu­giés sur des rochers. Les Sauve­teurs en Mer ont récu­péré huit personnes à bord de l’aé­ro­glis­seur SNS4A-01 Maxime Touchais.